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Syndicat Force Ouvrière-EPSM Val de Lys-Artois

6 mars 2016

Risques informatiques : Vigilance de tous.

Un hôpital américain paralysé par des pirates informatiques

Le Monde.fr | 16.02.2016 à 11h51 • Mis à jour le 18.02.2016 à 12h00 | Par 

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Des pirates informatiques sèment la pagaille dans un hôpital du sud de la Californie. Depuis plus d’une semaine, le centre médical presbytérien d’Hollywood est en effet victime d’un logiciel de racket (ransomware) qui paralyse ses réseaux et ses ordinateurs.

Des employés du centre médical font savoir que le système informatique est bloqué et que les pirates demandent une rançon en échange des mots de passe nécessaires pour le relancer. Selon une source locale contactée par le site spécialisé CSO Online, les pirates demandent une rançon d’environ 9 000 bitcoins (une monnaie virtuelle anonyme et décentralisée), ou entre 3,4 et 3,6 millions de dollars.

Une enquête a été lancée vendredi 12 février par la police de Los Angeles et les autorités fédérales (FBI), et, plus tôt dans la semaine, l’hôpital a reconnu des « problèmes techniques significatifs et une urgence interne ».

Les outils informatiques bloqués

Ce type de programme, relativement courant, infecte un ordinateur de diverses manières, puis en prend le contrôle et verrouille l’accès à ses fichiers ou à ses programmes. L’utilisateur se voit alors demander une certaine somme d’argent pour reprendre le contrôle de son ordinateur. En septembre, une entreprise de sécurité informatique a découvert une application pornographique qui prenait en photo ses utilisateurs et demandait une rançon faute de quoi elle diffusait le cliché sur Internet.

Selon la chaîne NBC, de nombreuses opérations du centre médical presbytérien d’Hollywood doivent êtres faites sur papier, et les communications passent désormais par fax et téléphone en raison de la paralysie des services informatiques. La chaîne ajoute que certains patients ont dû être transportés vers d’autres hôpitaux. En effet, les ordinateurs sont nécessaires pour gérer et communiquer les résultats de certains tests, comme les radios et les scanners.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/02/16/un-hopital-americain-paralyse-par-des-pirates-informatiques_4866243_4408996.html#D3ezPs25OP2EHgKP.99

 

La réactivité du personnel du CH de Corbie permet d'éviter la diffusion du virus informatique Locky

Publié le 29/02/16 - 17h58 - HOSPIMEDIA

 

Le 25 février dernier, le fameux virus Locky, qui a défrayé la chronique ces dernières semaines en attaquant un hôpital d'Hollywood (lire ci-contre), s'est introduit dans l'un des ordinateurs du CH de Corbie (Somme), indique à Hospimedia son directeur Marc-Éric Boyer, confirmant une information du Courrier Picard. Ce jour-là, un agent de l'hôpital de l'économat a ouvert un mail sous le nom d'un opérateur téléphonique, Free, croyant avoir affaire à une facture. "Dès qu'il l'a ouvert, il a remarqué que quelque chose d'inhabituel était en train de se passer sur son ordinateur et a donc immédiatement prévenu le service informatique du CH", explique-t-il. Les deux informaticiens ont alors immédiatement déconnecté l'ordinateur du réseau, prévenu l'ensemble des agents de l'établissement de la dangerosité du mail et l'ont supprimé de toutes les boîtes mails où il se trouvait.
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26 février 2016

COMMUNIQUE INTERNE SUITE A L'INTERSYNDICALE FONCTION PUBLIQUE DU 24 FEVRIER 2016

Fonction publique : Etat – Territoriale - Hospitalière

46 rue des Petites Ecuries 75010 – PARIS - contact@fo-fonctionnaires.fr – 01.44.83.65.55

 

Intersyndicale Fonction publique du 24 février 2016

 Point d’indice : le fiasco de PPCR confirmé…!

 

Réunies au siège de la CGT, toutes les fédérations syndicales de la Fonction publique (excepté la CFTC) ont tenté de trouver un consensus pour adopter un texte commun et un appel à l’action dans la perspective du rendez-vous salarial.

 

Rappelons que le 26 janvier 2016, FO avec la CGT et Solidaires, avaient appelé à la grève pour peser sur le rendez-vous salarial et également pour rappeler nos principales revendications : défense du statut général, arrêt des suppressions de postes et des différentes réformes (territoriales, collèges et santé notamment), etc. Lors de cette grève les autres organisations avaient décidé de ne pas soutenir notre action, certaines comme la CFDT et l’Unsa l’ayant même vertement critiquée allant jusqu’écrire que la grève ne servait à rien et que tout avait été gagné dans PPCR.

 

Un mois plus tard, ces mêmes organisations participent à l’intersyndicale FO, CGT et

 

Solidaires et souhaitent imposer leur point de vue en minimisant les revendications au simple dégel de la valeur du point d’indice.

 

L’UIAFP-FO, après plus de 2 heures de discussions, n’a pas pu s’inscrire dans un communiqué commun, considérant que les nombreuses revendications portées avec la CGT et Solidaires le 26 janvier restaient d’actualité.

 

Au-delà du revirement de certaines organisations syndicales, il faut bien-sûr comprendre le pourquoi de cette situation qui trouve ses fondements dans PPCR.

 

Extrait du protocole PPCR (page 14): « une négociation annuelle permettra de dresser un bilan d’étape de la mise en œuvre des mesures triennales et définira, le cas échéant, les mesures d’ajustement à y apporter. Elle permettra d’examiner d’éventuelles mesures d’ajustement au regard des principaux indicateurs macro-économiques (taux d’inflation ; croissance du PIB, évolution des salaires…) », et page 15 : « une négociation salariale se tiendra dès février 2016. Elle sera l’occasion d’examiner la revalorisation du point d’indice au vu des indicateurs macro-économiques. »

 

Ce paragraphe était une des raisons pour lesquelles FO avait refusé de signer le protocole.

 

Pour FO, la revalorisation de la valeur du point d’indice doit, a minima systématiquement, compenser la seule inflation.

 

Intégrer la croissance ou des indicateurs comme le GVT (glissement vieillesse technicité) est inadmissible car cela permet de geler à vie la valeur du point. On constate tous les méfaits de PPCR et son impact sur les rémunérations des fonctionnaires et des agents publics.

Après la suppression des réductions d’ancienneté à la FPE et des durées minimales de carrière à la FPT et à la FPH, voici les indicateurs macro-économiques et la croissance pour justifier le gel ou la misère.

 

De plus, l’UIAFP-FO a rappelé que certaines confédérations syndicales envisageaient une journée d’actions (et de grève ?) le 31 mars notamment contre le projet de Loi « El Khomri » qui contient le CPA (compte personnel d’activité) pour la Fonction publique.

 

Pour FO, cette date doit être prise en compte car nous ne souhaitons pas multiplier les journées « saute-mouton ». FO va continuer de rappeler ses revendications de revalorisation de 8 % de la valeur du point d’indice et l’attribution de 50 points d’indice pour le rattrapage du pouvoir d‘achat.

 

Les prochaines intersyndicales début mars (interpro et fonction publique) seront déterminantes pour les actions à mener, en s’appuyant sur des revendications claires.

 

PARIS, le 25 février 2016

26 janvier 2016

RPS, QVT et compagnie

FO EPSM mini

La souffrance au travail est une problématique complexe. Beaucoup essaient de la comprendre pour y apporter des réponses. Dans ce beaucoup, nous retrouvons des médecins du travail, des psy (psychologues cliniciens, psychologues du travail, psychiatres, psychanalystes…), sociologues, ergonomes, syndicats… Des études font observer que ces problématiques sont rares dans les pays d’Europe du Nord, il y aurait donc à aller voir du côté culturel…

Cet article, du journal Le Monde, donne une critique qui pousse à la réflexion.

 

Le Monde

Souffrance au travail : oubliez le psychologue !

LE MONDE | 24.01.2016 à 18h33 | Par Margherita Nasi

 

Entre 2007 et 2014, la psychologue du travail Lise Gaignard rédige des chroniques à partir d’entretiens menés dans son cabinet. Elle souligne les phrases les plus affligeantes, les retape, et change les prénoms. Aujourd’hui réunis dans un ouvrage, Chroniques du travail aliéné, ces textes sont poignants : la psychanalyste a du mal à relire son livre. Elle n’est pas la seule : « On m’a reproché de dire du mal des travailleurs », raconte-t-elle.

Si son texte suscite des réactions vives, c’est qu’il critique la dépolitisation de la souffrance au travail : à ses yeux, le changement le plus frappant dans le monde du travail en France n’est pas « la transformation – pourtant importante – des modes de management, ni les catastrophiques techniques d’évaluation pipées, ni la mondialisation. Pour moi, la différence majeure, c’est qu’en France, quand on est victime d’une injustice épouvantable au travail… on demande à aller chez le psy ! ».

D’après la psychologue du travail, c’est en 1998 que tout commence, avec la sortie de Souffrance en France, de Christophe Dejours, et Le Harcèlement moral, de Marie-France Hirigoyen. Deux ouvrages qui connaissent un succès retentissant : « Soudainement, tout le monde est harcelé, tout le monde a un pervers narcissique dans son entourage ! Le ministère du travail va même introduire le harcèlement moral dans la loi de 2002. » Lise Gaignard n’a pas de mots tendres pour cette loi qui « arrange les entreprises : pendant qu’on consulte sur les risques psychosociaux, on ne s’interroge pas sur les modalités de production ».

« Le problème n’est pas médical, il est lié au travail »

Les risques psychosociaux auraient-ils été instrumentalisés ? En tout cas, de nombreux médecins se plaignent d’avoir à régler des problèmes qui relèvent du management plus que de la santé. « Quand on a commencé à parler de harcèlement, c’était miraculeux : finalement, on comprenait ce qui se passait, on pouvait s’en prendre au pervers narcissique », se souvient Fabienne Bardot.

Mais cette médecin du travail porte aujourd’hui un regard plus amer sur la question, et refuse de mettre ses patients en inaptitude médicale. « C’est ce que tout le monde leur dit de faire, et c’est grave ! Le problème n’est pas médical, il est lié au travail. Je préfère la rupture conventionnelle : au moins, c’est le salarié qui la demande, qui décide de mettre un terme à une situation qui ne lui convient pas. »

Une façon de lutter contre l’hypocrisie d’une société qui gomme les conflits sociaux pour ne pas avoir à les aborder : « On ne dit plus un salarié, on dit un collaborateur, comme si dans l’entreprise tout le monde était égal. On ne dit plus licenciement, mais plan de sauvegarde de l’emploi. Même après les attentats du 13 novembre, on ne parle que de la souffrance des gens ! On met en place des cellules d’urgence, mais personne ne se demande comment on a pu produire des monstres pareils. »

« […] On utilise le psychologue pour faire du contrôle social, pour adapter les humains à des contextes hostiles ! »

Si la psychologisation de la souffrance au travail s’est autant développée, c’est aussi qu’elle constitue une niche rémunératrice pour les médecins, consultants et experts qui se sont spécialisés sur la question. « Même les syndicats envoient les salariés chez le psy ! La souffrance ne pousse plus à l’action, elle est vécue de façon individuelle et désespérante », regrette Anne Flottes, auteur de Travailler, quel boulot ! Les conflits du travail, enjeux politiques du quotidien.

« Bien sûr qu’il y a des gens qui vont mal et que le travail joue un rôle majeur dans ce malaise. Sauf qu’on utilise le psychologue pour faire du contrôle social, pour adapter les humains à des contextes hostiles ! », renchérit la professeure de psychologie sociale Pascale Molinier.

Le psychologue Yves Clot parle d’une approche hygiéniste des risques psychosociaux, qui transforme la fragilité des situations en fragilité des personnes. Stress, burn-out, pervers narcissique, sont des termes qu’il prend avec beaucoup de recul : « Le vocabulaire est glissant parce qu’il traduit une angoisse sociale d’appeler les choses par leur nom. Il y a quelque chose de profondément déréglé dans le travail. On assiste alors à une obsolescence programmée des mots. On passe des plans d’action contre les risques psychosociaux à la qualité de vie au travail, et pendant ce temps les symptômes s’aggravent. »

L’impossibilité du travail bien fait

Le cœur du problème est ailleurs. Il se trouve dans l’impossibilité du travail bien fait. Des personnes qui souhaitent travailler dans les règles de l’art se heurtent à des organisations qui sacrifient la qualité du travail, dans tous les secteurs : l’industrie, les services ou encore le milieu universitaire. Ces conflits de critères refoulés viennent s’enkyster dans le corps et la tête de chacun.

Le problème devient alors personnel, mais il est politique dans ses causes, tout comme dans ses conséquences. L’auteur de Le travail peut-il devenir supportable ? évoque le cas Volkswagen, « une organisation du travail qui fonctionne comme la Coréedu Nord : on ne peut pas parler sous peine d’être éliminé, et on finit par abîmer l’entreprise, ainsi que la planète. Et là, on accorde aux salariés le droit de faire des aveux : c’est le comble de la perversion politique ! On les contraint à ravaler leur expérience, et quand on arrive au drame on leur demande de confesser des tricheries qu’ils ont été amenés à faire justement parce que la parole était censurée. »

Margherita Nasi

Journaliste au Monde

 

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/entreprises/article/2016/01/24/soufrance-au-travail-oubliez-le-psychologue_4852707_1656994.html#u85dhFmhV5ilzHwy.99

 

Les publications d’Yves CLOT (Psychologue)

http://www.cairn.info/publications-de-Clot-Yves--3156.htm

Yves Clot, titulaire de la chaire de psychologie du travail du CNAM et directeur du Centre de recherche sur le travail et le développement (CRTD, EA 4132), est notamment l’auteur de Le Travail sans l’homme ? Pour une psychologie des milieux de travail et de vie (La Découverte, 1995, 2008), de Travail et pouvoir d’agir (PUF, 2008) et Le Travail peut-il devenir supportable ? (avec Michel Gollac, Armand-Colin, 2014

Les publications de Christophe DEJOURS (Psychiatre-Psychanalyste)

http://www.cairn.info/publications-de-Dejours-Christophe--10012.htm

Christophe Dejours est un psychiatre et psychanalyste français, fondateur de la psychodynamique du travail, professeur titulaire de la chaire de psychanalyse-santé-travail au Conservatoire national des arts et métiers et directeur du laboratoire de psychologie du travail et de l'action.

Les publications de Pascale MOLINIER (psychologue)

http://www.cairn.info/publications-de-Molinier-Pascale--332.htm

Pascale Molinier (née en 1959) est une psychologue française dont les recherches se situent dans le champ de la psychodynamique du travail. Elle s’intéresse aux enjeux de santé mentale dans les organisations contemporaines et aux incidences du travail sur la construction des identités sexuées et sur l'économie érotique, en privilégiant, dans ses analyses, la perspective du genre.

Les publications de Anne FLOTTES (Sociologue)

http://www.cairn.info/publications-de-Flottes-Anne--24360.htm

Anne Flottes a travaillé dans l’administration, une entreprise publique, un service de l’emploi, puis comme ouvrière, avant d’exercer une activité d’intervenante au service de l’amélioration des conditions de travail. Praticienne, elle a été formée et associée à des activités de recherche sur la division sociale et sexuelle du travail, l’ergonomie et la psycho-dynamique du travail. Membre du comité de rédaction de la revue Santé et Travail.

Site de Marie-France Hirigoyen

http://www.mariefrance-hirigoyen.com/

Marie-France Hirigoyen a fait ses études de médecine à Bordeaux où elle a passé également un certificat de 2eme cycle d’ethnologie, option ethnopsychiatrie, en 1974.

Les publications de Lise GAIGNARD (Psychologue du travail)

http://www.cairn.info/publications-de-Gaignard-Lise--8373.htm

 Source : Le Monde

CAIRN

bande-annonce

Nos posts sur les Conditions de Travail

21 janvier 2016

EPSM : Vos représentants Force Ouvrière

En décembre 2014, vous leur avez donné majoritairement vos voix parce que vous connaissez leur travail, leur passion, leur engagement...

A FO, on ne pavoise pas, on écoute, on comprend, on agit...

 

Vos représentants Force Ouvrière aux instances de l'EPSM : 

CTE (Commission Technique d'Etablissement)

Titulaires : 

M BIENAIME-DELATTRE Bruno

Mme BOUXIN Nacéra

M. DEPUYDT Christian,

M. MOITEL Patrick

Mme OLIVARES Emilie

Suppléants : 

Mme PATELSKI Emmanuelle

Mme MANNECHEZ Sabine

M. BOUXIN Rodrigue

M. DHENNIN Fabrice

M. BAVAY Guénaël

Conseil de Surveillance : M. Christiant DEPUYDT

CAPL (Commission Administrative Paritaire Locale)

CAP 2 : personnels des services de soins, des services médico-technique et services sociaux

Mme PATELSKI Emmanuelle      Mme VERON Delphine

CAP 4 : personnels d’encadrement technique et ouvriers

M. DEPUYDT Christian               M. HONNART Ludovic

CAP 5 : personnels des services de soins, des services médico-technique et services sociaux

Mme ROUSSEL Martine              Mme GRATPENCHE Sophie

CAP 7 : personnels technique et ouvriers

M. MOITEL Patrick                      M. CAPELLE Jean-Luc

CAP 8 : personnels des services de soins, des services médico-technique et services sociaux

M BIENAIME-DELATTRE Bruno   M. BOUXIN Rodrigue

CAP 9 : personnels administratif

Mme OLIVARES Emilie                 Mme  ROBILLIART Nathalie


CHSCT (Comité d'Hygiène de Sécurité et des Conditions de Travail)
 

M. BIENAIME-DELATTRE Bruno M. MOITEL Patrick

M. BOUXIN Rodrigue                  M. VENEL Bernard,


CDR (Commission de Réforme)

M. MOITEL Patrick

 

 

 

21 janvier 2016

EPSM : Bureau Syndical FORCE OUVRIERE

Des personnes à votre écoute et qui se sont engagées pour vous représenter dans les différentes instances de l'EPSM.

BUREAU SYNDICAL F.O.

Secrétaire :Mme OLIVARES Emilie, Adj. Adm. (Sces Economiques)

Secrétaires Adjoints :

Mme MANNECHEZ Sabine, Adj. Adm. (Sces Informatiques)

M. BIENAIME-DELATTRE Bruno, A.Sg (Service D)

M. MOITEL Patrick, MOP (Sce du Patrimoine)

Trésorier : Mme PATELSKI Emmanuelle, ISG (Service B)

Trésorier Adjoint : Mme BOUXIN Nacéra, ISG (Service G)

Archivistes : Mme PRUVOT Estelle, Orthophoniste (ITEP)

M HONNART Ludovic, Technicien informatique (Sces Informatiques)

Membres du bureau :

Mme BIENAIME-DELATTRE Carole, AMA (SAAS)

M. BOUXIN Rodrigue, ISG (CPB)

M J. Luc CAPPELLE, MO (Sce du Patrimoine)

M. DANEL Patrick, MOP (Sce du Patrimoine)

M DELATTRE Dominique, Cadre Supérieur de Santé (Service B)

M. DEPUYDT Christian, TSH (Sce du Patrimoine)

M. DHENNIN Fabrice, Cadre de Santé (IFSI)

Mme GRATPENCHE Sophie, Ergothérapeute (CPT)

Mme LECOCQ Marie, ASHQ (Pôle pédopsy)

Mme LERIQUIER Valérie, Adj. Adm. (DRH)

Mme SOUZA-JUIMARES Béatrice, ASHQ (Pôle pédopsy)

M VENEL Bernard, OPQ (Blanchisserie) 

 

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21 janvier 2016

Vous et l'hôpital...

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'EPSM : 

  • ses instances
  • votre carrière
  • votre santé au travail
  • votre fiche de paie...

VOS REPRESENTANTS, ceux qui défendent vos droits, protègent vos conditions de travail, vous respectent, vous écoutent ... parce qu'un agent satisfait dans son travail et reconnu est le garant d'une qualité des soins.

 

Voici le Guide Hospitalier que nous avons rédigé pour vous. N'hésitez pas à passer à notre local syndical pour en récupérer un exemplaire et nous partager vos questions.

 

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21 janvier 2016

Quel avenir pour notre EPSM ? FO : VIGILANCE

 

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L’Etablissement doit se restructurer !

Mais, …  Ne doit pas occulter les nécessités de :

  • Maintenir des prises en charge de qualité.
  • Respecter le choix et le positionnement des agents qui acceptent de s’engager dans le pool de remplacement et celui des agents lors des regroupements de service.
  • Poursuivre les évolutions de carrière : application des ratios des différentes catégories professionnelles, montées d’échelons, changements de grade…
  • Permettre aux personnels de se former si réorientation professionnelle.
  • Poursuivre les promotions professionnelles de l’ANFH.
  • Limiter les pertes d’emploi des agents contractuels en favorisant les mises en stage dès que possible…

Face à ces inquiétudes

Force Ouvrière reste attentif à chaque projet qui sera présenté.

Nos objectifs :

  • Maintenir un service public de qualité et de proximité.
  • Maintenir la qualité des soins et les prises en charge.
  • Garantir la pérennité  des emplois.
  • Empêcher les situations de maltraitance des personnels et éviter lesrisques psychosociaux pour toutes les catégories professionnelles.
  • Etre force de proposition.

Vous êtes concernés par une situation qui vous préoccupe et vous inquiète.

Force Ouvrière sera à vos côtés au quotidien !

Le Bureau syndical

Pour télécharger le tract : 

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14 janvier 2016

Article VDN du 14 janvier 2016

La Voix du Nord du Jeudi 14 janvier 2016 présente un article au sujet de notre EPSM avec des réactions de 3 organisations syndicales de l'EPSM. 

Saint-Venant : l’EPSM doit réduire son déficit,

120 emplois supprimés en 2 ou 3 ans

PUBLIÉ LE 

PAR PATRICIA MERCIER (CLP)

Il s'avère que les propos attribués à notre organisation FO ne sont pas les nôtres, d'ailleurs aucun commentaire n'a été donné par notre bureau syndical. Il semble que le rédacteur de la Voix du Nord ait commis une erreur dans l'attribution des propos retranscrits sur cette page. Un droit de réponse a été demandé par notre secrétaire Mme OLIVARES et ce communiqué devrait être publié dans l'édition du 15 janvier 2016. Il est dommage que de telles confusions puissent avoir lieu. 

 

Déjà avant l’arrivée d’un nouveau directeur, des mesures étaient à l’étude pour réduire le déficit de l’établissement public de santé mentale de Saint-Venant. 2,5 millions d’euros à résorber. Le plan passe par une suppression progressive d’emplois, sans nuire à la qualité des soins, promet la direction.

Personne ne dira le contraire, l’EPSM est un établissement en santé mentale de référence dans le Pas-de-Calais. N’empêche : il accuse un lourd déficit et l’heure est à trouver des pistes pour l’enrayer. Le nouveau directeur, Chritian Burgi, a dans son équipe 1 200 salariés se répartissant, pour l’activité principale, à l’EPSM, l’IFSI, l’ITEP et l’addictologie. L’EPSM comprend 530 lits dont l’occupation est de l’ordre de 80 % à l’année. 20 000 personnes sont suivies dont 15 000 adultes et 5 000 enfants.

Bref, le navire est vaste et la lutte contre le déficit, entamée par le prédécesseur de Christian Burgi, inquiète le personnel. Sur le principe, les mesuresn’auront pas d’incidence sur la qualité des soins mais réduiront progressivement les effectifs. L’une des clefs pour faire des économies de personnel, c’est de regrouper les neuf structures internes. Pas rien. « Cela entraîne une mini révolution au sein de l’EPSM », admet le directeur.

Vers la suppression des emplois précaires

Les secteurs vont regrouper leurs forces en intra-hospitalier dans le cadre de pôles d’activités. L’objectif de la direction est de supprimer 120 emplois sur deux ou trois ans, de ne pas remplacer les départs à la retraite (25 par an) et d’inciter les départs volontaires dans la fonction publique hospitalière. Par exemple, certains agents ayant un projet cadre pourront rejoindre les établissements généraux voisins. Les 20 emplois précaires pour remplacement seront supprimés définitivement car une équipe a été créée avec des titulaires.

L’autre enjeu primordial est la loi santé adoptée le 17 décembre, qui a officialisé la mise en œuvre des groupements hospitaliers de territoire (GHT) sur la logique MCO (médecine, chirurgie et obstétrique), ce qui, pour les acteurs de la psychiatrie, est un obstacle. Le directeur ajoute : « Je défendrai la création de GHT psychiatriques tenant comptent des spécificités de l’offre de soins en psychiatrie. La dissolution de l’EPSM dans une GHT MCO créerait un risque systémique. L’EPSM doit démontrer à l’ARS Nord - Picardie qu’il est un acteur pivot de la santé mentale du Pas-de-Calais et qu’il ne doit pas être traité comme les autres centres hospitaliers ne gérant pas la santé mentale.L’EPSM doit enrayer ce déficit pour ne pas créer les conditions de sa disparition. »

ZOOM : TROUVER MIEUX QUE L’HOSPITALISATION À VIE

Après trois mois de présence à la tête de l’établissement public de santé mentale de Saint-Venant, Christian Burgi livre les principales lignes de l’année 2016. Au cœur des préoccupations, la réduction du déficit. Faire une distinction entre la psychiatrie et l’addictologie est indispensable. Les adultes addictifs, représentant 20 % des hospitalisations, cohabitent avec les patients soignés pour une pathologie mentale. Désormais, la filière d’addictologie bénéficiera d’un bâtiment au sein de l’EPSM avec une équipe médicale attitrée.

L’amélioration de la prise en charge des patients est une priorité pour la santé mentale moderne, comme la réhabilitation psychosociale visant les patients hospitalisés à long terme mais nécessitant plus de soins intensifs. Grâce aux partenariats avec différents acteurs de santé tels que les EHPAD, les foyers..., les résidants pourront être accueillis mais resteront en lien avec l’EPSM pour leurs besoins ponctuels. Ils pourront ainsi jouir d’une vie plus appropriée qu’une hospitalisation à vie. Cette spécialisation va permettre de baisser le nombre des hospitalisations complètes et de supprimer des postes sans incidence sur la qualité des soins.

ZOOM : CE QU’EN DISENT LES SYNDICATS

CGT : « C’est officieux. Il y a un nouveau projet avec une réorganisation mais on ne va pas crier au loup alors que rien n’est officialisé. On va se voir régulièrement dans les prochains mois. » Le syndicat attend les voeux au personnel, qui se déroulera le 25 janvier, pour prendre position.

FO : « Burgi y va au bulldozer. Il y a des choses de faites pour pousser aux départs: un ralentissement des progressions de carrières, une baisse des primes, des titularisations en moins... » Force Ouvrière va proposer aux autres syndicats de manifester devant l’établissement lors de la grève de la fonction publique le 26 janvier. (Ce ne sont pas nos propos)

Sud : « C’est encore flou. Il y a des économies de faites sur la masse salariale et pas d’investissement sur le matériel. Il y a régulièrement des incitations à partir de l’hôpital avec des offres sur l’intranet. On n’attend pas grand chose de la réunion avec monsieur le maire. » Ce dernier s’est engagé à rencontrer tous les syndicats.

 

4 janvier 2016

Saison...

En ce bébut d'année 2016,

le bureau syndical Force Ouvrière

de l'EPSM Val de Lys-Artois

vous présente ses meilleurs voeux.

Que cette année nouvelle,

vous apporte et à vos proches....

1 an de Santé

12 mois de Joie

52 semaines d'Amour

et

366 jours de Paix  

 

4 janvier 2016

En 2016, vivre debout !

En 2016, vivre debout !

4 janvier 2016
Par

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L’année 2015 restera gravée dans l’histoire de France par les 147 morts et les nombreuses victimes des attentats terroristes.

L’intégrisme, l’intolérance, l’autoritarisme contre tous les autres conduit à l’extrémisme le plus dévastateur. Celui qui impose sans convaincre participe à cette déchéance de l’humanité. « La liberté n’est jamais acquise, elle est sans arrêt menacée. Elle doit faire l’objet de lutte courageuse. » (Emmanuel Kant)

Le syndicalisme est par essence un outil pour la liberté, la démocratie et la paix. Cette reconnaissance est nationale à la libération et internationale en 1951 lorsque le prix Nobel de la paix est attribué au syndicaliste Léon Jouhaux, ancien secrétaire Général de la CGT et père fondateur du syndicalisme Force Ouvrière. Un acte fort pour reconnaître au syndicalisme son action nationale et internationale en faveur de la paix et la liberté.

C’est pourquoi FO est si attachée aux valeurs fondamentales de la République. Le respect de ses valeurs est un acte essentiel.

Or, tout est fait, ici et là, pour décourager l’adhésion syndicale. Tous les outils collectifs au service du plus grand nombre sont mis à mal par ceux qui nous gouvernent avec le monde de la finance. La retraite par solidarité s’individualise par la capitalisation. La sécurité sociale réduit sa couverture au profit des assurances privées. La convention collective nationale devient progressivement inférieure à l’accord d’entreprise. Le corporatisme est préféré au syndicalisme. Etc.

Le salarié se trouve ainsi de plus en plus isolé et creuse sa propre déchéance en se détournant du seul outil collectif capable de le représenter dans tous les endroits où ses propres intérêts sont débattus. Le monde de la finance veut étouffer le syndicalisme car il observe qu’il porte atteinte aux profits qui sont tirés du monde du travail.

Le syndicat est l’outil indispensable au service de la liberté de la démocratie, de la paix mais aussi de l’égalité. Oui, c’est une autre raison pour soutenir le syndicat là ou il se trouve et de le créer là où il n’est pas ! L’égalité doit être un combat permanent qui ne peut trouver de réponse que par la solidarité entre tous les gens de même condition. Le syndicalisme reste le seul rempart contemporain contre la barbarie.

Rester seul en se couchant ou solidaire en se levant n’est pas une fatalité. C’est un choix délibéré ! Si nous ne sommes pas sûrs de gagner debout, nous sommes sur de perdre couchés !

Debout et que 2016 vous donne la force de conquérir avec nous la Liberté, l’Egalité et la Fraternité !

 

Article repris de http://fo-sante.org/2016/01/en-2016-vivre-debout/

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